Pensées (plus ou moins) profondes



"QUAND JE PENSE À TOUS LES LIVRES QU'IL ME RESTE À LIRE

J'AI LA CERTITUDE D'ÊTRE ENCORE HEUREUX"

JULES RENARD


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jeudi 20 octobre 2011

"Messieurs les enfants": chapitre 3

3 commentaires:

  1. J´ai déjà lu les trois premiers chapitres et je me suis bien amusée, Crastaing me rappelle à un professeur que j´avais de grec .....UUgggg!!!!

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  2. Bravo Marian pour la publication de ce premier message, tu vois ce n'était pas si difficile! Tu peux maintenant te vanter de ne plus être une analphabète numérique, bien au contraire, te voilà devenue blogueuse professionnelle!
    Sinon, je suis contente que le livre te plaise, au rythme où tu vas tu vas pouvoir en lire deux ou trois de plus avant la prochaine rencontre du groupe! Pour ce faire je t'invite à explorer le premier lien des "sites à visiter", il t'emmènera tout droit à la bibliothèque nationale de France, sans avoir à bouger de ton fauteuil, c'est-y pas beau????

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  3. Chapitre trois: Pennac décrit les familles si particulières de chacun des trois enfants.
    Joseph Pritsky: il vit avec ses parents; son père, tailleur, a peur de Crasting et ne veut pas aller le revoir. Igor Laforque: il a perdu son père et vit avec sa mère, qui n'arrive pas à surmonter le chagrin de sa mort. Nourdine Kader: Il vit avec son père, qui ne parle plus et passe son temps dans le garage-atelier de peinture, et sa grande soeur, Rachida, désespérée par le comportement de son frère et la passivité de son père.
    Intéressante, l'histoire!!

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